Dirty geometry

, ,

Partager l’article:

Mon coup de foudre du jour va pour Esther Stocker et ses magnifiques installations. A l’aide de formes géométriques simples, de lignes tracées par de rubans adhésifs, toujours en noir et blanc, elle redéfinit entièrement notre lecture de l’espace. Elle le déconstruit, perturbe notre perception, l’espace tout entier semble exploser. Voici sa démarche (qui a l’air si simple, et pourtant…) :

“It is really hard to describe, but I never really know where one thing is at… like myself for instance… Imagine I am on a chair. The chair is two metres from a wall. The wall is on the second floor of a house in Vienna and so on. But what relates to what? Even the solar system is dependant on being described by some unclear idea of a universe being described by a confused human observer.”

Moyens minimums pour effet maximum. A suivre!

www.estherstocker.net

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Une réponse à “Dirty geometry”

  1. AM A ZING !!!!

Encore plus à découvrir

Explorer

Les cahiers du textile décryptent l’univers complexe du textile pour mieux comprendre les enjeux d’un secteur qui doit se réinventer.